
L’infiltration du makhzen dans la politique française : une influence qui interroge
Depuis plusieurs années, la question de l’influence étrangère s’impose dans le débat français. Le régime marocain, souvent appelé makhzen, déploie une stratégie claire : placer ses relais dans les institutions françaises. Cette infiltration ne passe pas seulement par la diplomatie. Elle s’appuie aussi sur des élus franco-marocains qui portent un agenda conforme aux intérêts de Rabat.
Des élus porteurs d’un agenda étranger
Ainsi, certains responsables politiques issus du Maroc trouvent une place dans des partis français. Souvent à droite, voire à l’extrême droite, ils bénéficient d’un vote communautaire massif dans les banlieues. Pourtant, leurs actions une fois élus ne servent pas toujours les électeurs. En effet, ils défendent avant tout les priorités du makhzen : normalisation avec Israël, défense du Sahara dit « marocain », et hostilité envers l’Algérie.

Le cas de Rachida Dati reste souvent cité. Ses positions, fréquemment alignées sur celles de Rabat, montrent comment un élu peut relayer les priorités marocaines dans le débat français. De son côté, Othmane Nasrou, vice-président de la région Île-de-France et proche de Bruno Retailleau, illustre également ce mécanisme. Originaire de Casablanca, il a su capter une partie du vote franco-algérien. Cependant, une fois en poste, il défend une ligne perçue comme hostile à l’Algérie et aux Algériens.
Il est donc surprenant de constater que des électeurs d’origine algérienne ou tunisienne soutiennent ces candidats. En réalité, leurs voix permettent l’émergence d’élus qui adoptent ensuite des positions contraires à leurs intérêts. Cette situation révèle une naïveté électorale inquiétante. Les votes sont utilisés comme levier politique au profit d’un agenda étranger, et non pour défendre la communauté maghrébine dans son ensemble.
Le cas Mansouri : une hostilité ouverte envers l’Algérie
La députée Hanane Mansouri, élue dans la 8ᵉ circonscription de l’Isère ( région de Vienne au sud de Lyon ), va encore plus loin. Elle affiche une réelle hostilité envers la diaspora algérienne. Selon plusieurs sources, elle a participé à l’accueil d’une délégation du Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie (MAK) au Sénat. Cette organisation, considérée comme terroriste en Algérie, est dirigée par un responsable visé par des mandats d’arrêt. Lors de cette rencontre, des propos séparatistes et menaçants auraient été tenus contre l’Algérie. Plus encore, son parcours politique révèle une contradiction majeure : elle a été soutenue dans le cadre d’une liste associée au Rassemblement National, parti connu pour son discours islamophobe et hostile aux minorités. Ce double jeu montre bien comment certains élus se positionnent dans des formations hostiles à l’immigration, tout en mobilisant un électorat maghrébin à des fins d’influence étrangère.

Le cercle Eugène Delacroix : un lobby structuré
Enfin, il existe aussi des formes collectives d’influence. Le cercle Eugène Delacroix en est un exemple frappant. Cette association d’élus marocains en France agit comme un véritable lobby. Son but principal est de promouvoir le Sahara dit « marocain » et de défendre systématiquement les positions du makhzen. Cette structure gagne en puissance. De plus, elle contribue activement à saboter les relations franco-algériennes, au profit exclusif des intérêts de Rabat.
Ainsi, l’influence du makhzen en France ne peut plus être ignorée. Elle s’exerce à travers des élus, des réseaux et même des associations. Par conséquent, elle fragilise la cohésion nationale et perturbe les relations entre la France et l’Algérie. Pour de nombreux observateurs, il devient urgent d’ouvrir un débat transparent sur l’impact de ces relais politiques et sur la manière dont ils utilisent le vote des diasporas maghrébines.
Bravo pour cette article je n’était pas au courant de cette mascarade
Bon article qui permet de mettre en lumière certains élus d’origine maghrébine qui sous couvert d’une certaine représentativité de cette communauté servent un agenda de pays étranger. Le parallèle peut être fait avec les élus franco israéliens
Il faut faire barrage à ces agents étrangers au services de l’extrême droite française !
Vous vous réveillez un peu tard les marocain sont infiltré a tout les étages du pouvoir Français.