Une photo du roi Mohammed VI : polémique et réalité
Récemment, une photo du roi Mohammed VI prise à Paris a suscité de vives réactions. Certains ont rapidement crié au trucage, accusant le cliché d’être un photomontage. Cependant, des analyses et vérifications approfondies ont confirmé son authenticité. L’image montre le roi dans un cadre informel, une rareté qui a déchaîné les commentaires sur les réseaux sociaux.
Cette polémique reflète des tensions autour de la figure royale, où tout écart à la posture protocolaire traditionnelle alimente critiques et spéculations. Pourtant, aucune preuve de falsification n’a été établie, toute ces critique cible la tenu vestimentaire extravagante du roi, qui portait des bottes et le jean d’une grande marque, arborant certains symboles catholique, ce qui à fait réagir de nombreux marocain, car ne l’oublions pas Mohamed VI porte le titre de « Commandeur des croyant » et en ce sens il est le garant de la foi musulmane au Maroc.
Tentative d’effacer l’image ?
La désinformation venait en réalité de groupe pro-royaliste marocain, qui avait partager en masse un photomontage le jour même, ou le roi avait tout simplement disparu de l’image.
Des experts ont cependant rapidement détectée la fraude grossière, surement réalisée par un amateur qui à tout simplement oubliée de supprimée l’ombre du souverain Alaouite.
La manipulation à été révélé par nos confrère de France 24
Une guerre désinformation
Des analyses récentes pointent vers des initiatives coordonnées de désinformation attribuées au Maroc, visant à consolider son image sur la scène internationale tout en discréditant des adversaires comme l’Algérie. Ces actions, observées dans le cadre des rivalités autour du Sahara Occidental, reposent sur des tactiques variées, notamment la diffusion d’informations falsifiées, l’altération d’images, et des campagnes numériques massives. Ces pratiques s’inscrivent dans une stratégie de communication propre aux conflits modernes, où les plateformes numériques deviennent des outils clés pour manipuler les opinions publiques et influencer les perceptions globales, les exemples ne manques pas, l’espionnage via le logiciel israélien PEGAZUS ou la corruption d’élu et de journaliste comme l’affaire RACHID M’BARKI.